Parité : un perd, l’autre manque et l’UMP gagne
La parité gouvernementale est une avancée médiatisée vers une représentation accrue des femmes en politique.
L’argument contre la parité est celui de la compétence, non pas du fait de l’incompétence naturelle des femmes, une absurdité bien sûr, mais du décalage entre le moment où la parité est posée en principe et celui où des femmes sont préparées à l’exrecice de fonctions ministérielles. Toutefois en France trouver 7 femmes de droite de qualité pour devenir ministre n’est ps un obstacle. Donc le nouveau gouvernement présente 7 femmes, ce n’est pas contesté et ells méritent toutes leur place. On peut se poser la question pour R. Bachelot à la Santé et aux Sports tant elle n’a pas semble-t-il auparavant manifesté d’intéret pour ces deux champs, en revanche on comprend davantage les nominations de R. Dati à la Justice, de Boutin au Logement ou de Albanel à la Culture. Pour Pécresse j’ai de sérieux doutes, mais on verra ce qu’elle réalise dans ce difficile ministère de la Recherche qui aurait du être couplé quant à faire à ceux traitant de stratégies économiques.
Au niveau des législatives la parité est plus compliquée à mener : les partis ne la respectant pas doivent payer des amendes importants (plus de 6 millions d’euros pour l’UMP en 2002). La parité concerne les candidatures et pas les les élus. Alors quel bilan en terme de parité pour les candidatures aux législatives :